Catégories : GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 9 ans
Une histoire érotique gay en prison. Pénitencier devrait s'écrire peine & tencier
Chapitre 1
Une fois obtenue mon diplôme pour entrer à l'université, je déménageai dans une autre ville,. Malheureusement les événements ne prirent pas à la tournure que j'avais prévue. Toutes mes économies disparurent dans le paiement des droits d'inscription aussi il ne me restait plus assez pour emménager dans autre chose qu'un taudis. J'espérais trouver un travail avant que les cours commencent à la fin de l'été, mais, alors que j'étais sorti chercher du travail, on fractura ma porte et on déroba toutes mes affaires, y compris l'argent mis de côté pour payer le loyer.
J'étais littéralement sans ressources, ne possédant plus que les vêtements que je portais sur moi. Avec rien d'autre qu'une paire de baskets, un short et un tee-shirt, je ne ferai pas la meilleure impression auprès de mes employeurs potentiels. Je fus bientôt expulsé de mon appartement car je ne pouvais pas payer le loyer. Mes parents étaient loin en Europe pour trois semaines aussi je n'avais pas d'autres choix que de dormir dans la rue.
Au bout de quelques jours passés dans la rue, la situation ne s'était pas améliorée et comme je ne pouvais pas prendre de douche ou laver mes vêtements, il ne me semblait que je pourrais trouver rapidement un travail. Mais voici ce qui arriva exactement. Je venais juste d'être expulsé d'un petit café où j'avais cherché du travail pour avoir un peu de nourriture, quand un homme s'approcha de moi. Il avait surpris la scène dans le café et il m'offrait 500 € pour faire une course pour lui. Je savais que cela était probablement illégal mais au point où j'en étais, je ne pouvais pas faire le difficile. Il me prêta aussi une voiture. Je devais prendre un paquet à un endroit et le livrer à un autre.
Les problèmes arrivèrent quand un policier m'arrêta pour avoir grillé un feu rouge. Il tourna autour de la voiture qui s'avéra être volée et après une rapide recherche il trouva le paquet qui contenait, comme c'était prévisible, de la d r o g u e. Je plaidais coupable, aussi je fus jugé immédiatement et la sentence tomba tout aussi rapidement. J'ai été condamné à deux années de probation et soit à une amende de 5000 € ou a passer cinq jours en prison. Mes parents étaient rentrés de leur voyage mais quand ils entendirent ce qui était arrivé, ils se désolidarisèrent de moi et refusèrent de payer l'amende. Il ne me restait plus qu'à faire mon temps de prison.
La cellule où j'avais été incarcéré avant le procès contenait deux lits pour environ 20 personnes, aussi quand je fus conduit dans une cellule avec seulement une autre personne cela me sembla une sorte de paradis. En fait, il y avait maintenant près de trois semaines que je n'avais pas dormi dans un lit et pris une douche, aussi ces cinq jours me semblaient peu de choses et je savais que je serais très vite sorti. La suite, hélas, prouva que je me trompais.
Je me laissai tomber sur le lit vide avec l'espoir de pouvoir dormir tout au long de ses cinq prochains jours. Mais je n'ai pas eu cette chance. Mon compagnon de cellule s'approcha et voulut me parler. Je ne voulais pas mal commencer avec lui, aussi je me redressai de mon lit et je répondis à ces questions. Il me donna aussi quelques informations sur lui. Son nom était John et il était là pour homicide involontaire. Il s'était bagarré quand il avait mon âge et avait littéralement démonté l'autre gars. Physiquement il semblait sûrement en être capable. Il devait mesurer 1mètre 80 et devait peser au moins 100 kilos de muscles.
Au bout de 10 ans il avait été transféré ici, dans une prison de basse sécurité pour terminer sa peine. Et maintenant il serait sorti deux jours avant moi. Je n'eus pas la prudence de me taire et je me mis à lui raconter tout ce qui m'était arrivé depuis que j'étais arrivé en ville. Il répondit que je ne devais pas être inquiet car il allait bien prendre soin de moi. "Merci, répondis-je, mais je pense que je serai capable de m'occuper de moi tout seul."
Il s'approcha tout près de mon visage et me chuchota. " J'ai dit que je prendrai bien soin de toi." Et chacun de ces mots furent ponctuées par un coup de poing dans mes cotes. Je compris alors que j'étais en mauvaise posture. Il se tenait debout à quelques centimètres de moi, et même si je voulais lui échapper, nous étions enfermés dans la même cellule, et je n'avais nul endroit pour m'échapper.
"Tu vas faire que je te dit et tu le feras aussi vite que tu peux ou alors il t'en coûtera si cher que tu préféreras être HS." Il se tenait toujours debout près de moi mais ne fit ni un mouvement ni un geste. "Déshabilles-toi et reste en sous-vêtements."
Chapitre 2
Tout ce que je pus répondre fut, "je..., mais...."
Et là Vlan ! Sans prévenir, il me donna une gifle magistrale.
"Dépêche-toi, plus vite."
Je restais assis hébété, à moitié assommé avec du s a n g qui perlait sur mes lèvres.
Vlan ! Il me gifla avec v i o l e n c e l'autre joue. "
Laisse-moi t'aider salope."
Il me redressa en empoignant une touffe de mes cheveux et m'envoya frapper contre le mur. Il me prit par l'arrière de mon col et me poussa d'avant en arrière. En un instant tous mes boutons de chemise tombèrent sur le sol et ma chemise s'arracha aisément de mon corps. Il me retourna et plia ma jambe droite, la faisant reposer sur son genou, comme le ferait un maréchal ferrant avec un cheval. Ma chaussure vola à travers la pièce et il arracha ma chaussette tout aussi rapidement.
Il répéta la même procédure avec mon pied gauche, en m'écrasant contre le mur avec son postérieur. Quand cela fut fait, il se retourna encore et ne fit retourner pour que je sois face à lui. Mes chaussettes roulées en boule s'enfoncèrent dans ma bouche puis il enleva ma ceinture d'une main experte et défit mon pantalon. Finalement, en me faisant pencher en avant, il me projeta sur son épaule avec ma tête en bas se balançant juste au niveau de ses fesses, abaissa mon pantalon et me l'enleva. Il me laissa tomber sur le lit, alors que je me portais plus rien d'autre que mon slip en coton blanc et les chaussettes roulées en boule dans ma bouche.
"Baisse la tête."
Il faut croire que j'avais compris la leçon car je me laissais tomber comme un chiffon et j'enfonçais mon visage dans le coussin. Le s a n g qui coulait de mes lèvres commençait à tâcher l'oreiller mais j'avais peur de bouger sans sa permission.
"Il y a un certain nombre de règles que tu vas devoir apprendre pour rendre ton séjour ici moins désagréable. Le fait de ne pas respecter ces règles signifiera que tu devras être puni. Tu viens juste de v i o l e r la règle numéro un : tout ce que je dis a f o r c e de loi. Je pense qu'une bonne fessée aidera à t'en souvenir."
Il s'assit et se plaça de telle manière que j'étais maintenant allongé sur ses genoux avec mes fesses en l'air et placées au niveau de ses genoux. En utilisant ma ceinture, il commença à donner des coups sur le slip en coton qui couvrait mes fesses. Les chaussettes roulées en boule dans ma bouche m'empêchèrent de crier mais la douleur était horrible.
Au bout de 25 coups, il dit "tant que tu n'auras pas appris toutes les règles il y a un minimum d'autres choses que tu dois retenir. Premièrement, tu m'appartiens. Tu ne dois rien faire sans ma permission. Ton uniforme tant que tu es dans cette cellule est ce que tu es en train de porter maintenant (j'apprendrai plus tard que le règlement de la prison nous obligeait à être au moins partiellement habillé tant que nous étions dans nos cellules). Quand je t'autoriserai à sortir de la cellule tu porteras ton pantalon et des chaussures mais pas de chemise. Il y a un certain nombre d'autres règles mais je te les enseigneraient et plus tard."
Je compris alors que ce n'était pas la première fois qu'il se comportait ainsi avec son compagnon de cellule. J'appris plus tard qu'il avait tout un harem de lopes quand il était dans le quartier de haute sécurité.
Il avait perdu le décompte des coups sur mes fesses mais il y en avait donnée au moins déjà 100 quand il s'arrêta. Un garde arriva pour éteindre les lumières. Il me vit allongé et se contenta de dire, "ainsi tu es le nouveau, Hein ? Tu sembles en être une bonne. John n'oublie pas notre marché."
"Pas de problème," répondit John et le garde s'en alla. "Encore une autre chose me rappela-t-il, une fois les lumières éteintes tu dois être complètement nu." (Apparemment, nous pouvions être nus autant que nous le voulions une fois que les lumières fussent éteintes).
Quelques minutes après il faisait noir dans la cellule et j'étais complètement nu, debout, au centre. John habillé seulement de son boxeur, marchait lentement autour de moi, prenant littéralement ma mesure. Je n'étais pas bien sûr aussi musclé que lui, mais j'avais une belle silhouette. Mais ce n'était pas ma silhouette qu'il était en train de palper en ce moment. C'était mon sexe et mes testicules. Il faisait rouler les boules entre ses mains, pour tâter leur poids. Puis il branla mon sexe un petit moment pour essayer de la faire bander. Mais il ne répondait pas. "Met toi en érection," ordonna-t-il.
"Je ne peux pas..." Vlan ! Un coup de ceinture contre mes fesses.
Je commençais à masturber mon sexe pour le rendre aussi dur que je pouvais. Apparemment ce n'était pas assez puisque la ceinture continuait a me battre les fesses. J'essayais de les protéger en poussant mon bas ventre en avant. J'essayais en même temps de m'exciter. Je pinçais mes tétons, puis de frotter le point sensible, je pressurais même mes testicules en imaginant la bouche de ma petite amie en train de me sucer. Mon sexe commençait à répondre lentement mais la douleur et l'humiliation étaient trop fortes et je n'arrivais pas à obtenir mieux qu'une nouille molle à moitié en érection. Je commençais à sentir les fesses me brûler a cause des coups donnés. Je fis encore un dernier effort. J'enfonçai deux doigts dans mon cul et je massais ma prostate.
Cette dernière action amena le résultat voulu et mon sexe était maintenant érigé, pointant en l'air ses 16 centimètres de longueur. Ce n'était pas le mieux que je n'avais jamais obtenu chez moi mais cela sembla le satisfaire et la flagellation de mes fesses s'arrêta.
"Je suis heureux de constater que tu aimes avoir quelque chose au fond de ton cul. Cela va s'avérer sûrement très utile."
Et comme je rougissais, virant au rouge vif, je réalisais que maintenant il savait où se trouvaient mes points sensibles.
Chapitre 3
Avant de me pousser sur mes genoux, John me chuchota à l'oreille, "Débrouille-toi pour vider rapidement ce gros porc comme ça nous vous allons pouvoir revenir rapidement à ton dressage. Et afin de bien te motiver, pour chaque seconde qui se passera avant qu'il crache son sperme, tu recevras une claque supplémentaire sur les fesses. Vas-y maintenant. Un. Deux. Trois..."
Autant je le détestais en ce moment, mais je devais le servir, car il savait comment me motiver. Rien que le souvenir de mes fesses boursouflées me faisait m'activer et baver sur cette bite avec enthousiasme.
"Cette salope a l'air affamée, on en dirait," marmonna le garde.
Heureusement, cela ne prit pas longtemps avant que ma bouche soit remplie avec son sperme. Il m'avait empoigné par les cheveux et il branlait sa queue dans ma bouche, m'utilisant comme la tête d'une poupée gonflable, et souvent ne faisant cogner la nuque contre les barres jusqu'à ce qu'il se soit vidé jusqu'à la dernière goutte en moi.
Quand il eut terminé et il le repoussa avec tant de v i o l e n c e que je perdis mon équilibre et que je terminais couché sur le dos. Il remonta sa braguette et sorti de la cellule sans un mot.
John lui, avait plein de choses à me dire. Ma queue avait commencé à se ramollir et il n'aimait pas ça du tout.
"Qu'est-ce que c'est, putain ! Es-tu en train de me mettre en colère ? On dirait que tu aimes les coups de cette ceinture ! J'espère que tu vas changer en comportement un petit peu !" Et en disant cela il commença à me donner des coups de pied dans les cotes et le ventre. Alors en une seconde, j'étais un nouveau en train de m'activer sur ma viande avec un doigt bien enfoncé dans mon cul. Heureusement, mon sexe ne s'était pas trop ramolli, et il était à nouveau érigé au bout de quelques instants.
"Tu as intérêt à le maintenir bien érigé quand tu es à côté de moi, ou alors tu vas avoir à vivre une expérience très douloureuse. (Comment, encore plus douloureuse, était-ce possible ?)" En riant il s'avança vers le lit et s’assit dessus. En tapotant son lit avec un sourire il dit, "cette pipe a pris 20 minutes et 23 secondes. Qu'est-ce que cela signifie ?"
"Je pense que je vous dois 323 claques sur les fesses, Monsieur." Se dirigea vers lui que je me couchais moi-même sur ses genoux.
"Je vois que tu commences à comprendre. Peut-être arriveras-tu à survivre après tout. Je veux que tu comptes chaque coup, je veux que tu me remercies après chaque coup et je veux que tu me supplies de t'en donner un autre. Tu penses que tu arriveras à te rappeler de tout cela, lopette ?"
Je fis oui de la tête.
"Pas si mal pour un début. Quand je te pose une question tu dois toujours répondre et répondre avec beaucoup de respect. Le décompte commence à partir de 423. As-tu bien compris ?"
"Oui, Monsieur. J'ai compris."
Satisfait de ma réponse il commença à faire pleuvoir les coups sur mon derrière déjà brûlant. Après chaque coup je devais répondre en donnant un nombre et dire "merci beaucoup Monsieur, puis-je en avoir un autre s'il vous plaît." J'essayais de ne pas penser à la douleur et de me concentrer sur mon sexe. Je savais que cela serait encore bien pire si je ne pouvais pas le maintenir en érection.
Finalement il arriva le moment où je puis dire "423, merci, Monsieur. Puis-je en avoir un autre."
"Peut-être plus tard," dit-il tandis que il me laissait me lever. Je restai debout dans une sorte de garde à vous. Mon sexe était toujours érigé et pointé vers lui mais cela ne semblait pas suffisamment lui plaire.
Finalement il dit "tu viens juste d'avoir l'honneur de recevoir une correction de la main de ton maître et tu n'as même pas la décence de me remercier correctement ?"
"Merci à vous Monsieur."
"Insuffisant, et trop tard." Il se leva et marcha à l'autre bout de la pièce et il prit un large livre sur une étagère. C'était un dictionnaire. En me le tendant, il dit, "regarde le mot 'gratitude'." Je tournais rapidement les pages, aussi que de le pouvais, dans la pâle lumière de la cellule, et je finis par trouver le mot.
"Lis la définition."
"Expression d'appréciation des avantages reçus ; remerciement."
"Juste pour être sûr que tu souviendras, place tes couilles sur la définition et referme le livre en le claquant."
Son ordre me pétrifia mais je savais que je n'avais pas le choix. Je plaçai délicatement mes testicules entre les pages du livre lourdement relié et alors, en serrant les dents, je claquai le livre. Pas assez fort apparemment car il marcha vers moi il prit le livre de mes mains et le comprima à tel point que je crus que mes couilles allaient éclater.
"Je ne crois pas que tu as bien compris. Encore une fois."
Je répétais la procédure, cette fois en claquant aussi fort que je pouvais. La douleur incroyable et je crus que j'allais vomir. Je pris à nouveau sur moi pour surmonter la douleur et pour me concentrer sur mon membre et tenter de le maintenir érigé, sachant que s'il se ramollissait, la punition serait encore plus sévère.
"Maintenant le mot 'respect'. Lis la définition."
"Désir de montrer et de la considération ou de l'appréciation ; estime, admiration."
"Tu sais ce que tu dois faire."
Je m'exécutai à nouveau comme il me l'ordonnait. Aveuglé de douleur, je claquais ensuite mes testicules entre les pages de 'discipline', 'maître', 'esclave', 'punition', et 'dressage'. Finalement pris le livre de mes mains et le replaça sur l'étagère. "J'espère que tu as compris la leçon."
Je n'avais comprise. En tombant à genoux, moitié par discipline, moitié par épuisement, je rampais jusqu'à ses pieds.
"Merci maître de m'avoir corrigé. C'est un très grand honneur pour moi que vous veillez pris le temps de me dresser pour que je sois un meilleur esclave pour vous."
Il sembla satisfait. "Assez de discipline pour cette nuit. Cependant je pense que tu as besoin d'encore un peu de conditionnement corporel. Mets toi sur le lit, face contre le matelas, avec ton cul en l'air." Il dut voir la frayeur sur mon visage tandis que je rampais pour suivre les ordres, car il dit, "ne t'inquiète pas, je ne vais pas te baiser, pas encore. Mais tu as besoin d'avoir ta chatte bien préparée pour quand j'en aurai besoin."
Il s'agenouilla derrière moi, prit mes fesses en main, les écarta pour mettre mon anus à jour. En utilisant ses deux pouces, il ouvrit mon trou autant qu'il le put. Je m'étais déjà doigté l'anus de multiple fois auparavant et j'avais même utilisé une ou deux fois un godemiché a avec ma copine de lycée aussi cette invasion ne fut pas très douloureuse, du moins encore. Cela changea quand il commença à travailler mon anus avec trois de ses gros doigts. Je commençais à gémir aussi il prit mon slip sale et l'enfonça dans la bouche en utilisant les chaussettes pour en faire un bâillon.
Il me travailla ainsi l'anus de longues minutes, me faisant- gémir de plus en plus.
"Tu as un trou bien faire et est bien chaud. Je vais dormir maintenant. Tu vas devoir conserver mon pouce dans ton anus toute la nuit. As-tu bien compris ?"
Je tentais de marmonner un "oui Monsieur" mais le bâillon m'en empêcha. Et John se mit à rire.
Chapitre 4
La nuit fut troublée. Chaque fois qu'il voulait bouger dans son sommeil je devais faire bouger mon derrière vers lui pour conserver son pouce dans mon trou et l'empêcher de sortir. Finalement je pus trouver une position en dormant sur le ventre qui me permettait de jouer avec les muscles mon anus pour serrer son pouce en moi et qui n'était pas trop inconfortable.
Cette nuit d'insomnie me donnait beaucoup de temps pour réfléchir à ma situation. Demain nous serions lundi. Et mercredi après-midi il serait libéré. Et vendredi après-midi je serais libre moi aussi. Il était clair que la meilleure chose à faire pour moi qui était de me conduire du mieux que je pouvais pour tenter de lui plaire. Je ne pensais pas qu'il risquerait sa libération en me tuant ou en tentant toute autre action sérieuse contre moi. Tout ce cauchemar serait bientôt terminé.
Comme nous étions couchés tête-bêche, mon nez était à hauteur de ses pieds. Le bâillon m'empêchait de respirer par la bouche aussi je devais respirer par le nez ce qui m'obligeait à respirer l'odeur de ses pieds tout au long de la nuit. Ceci, combinée avec le goût aigre de mon slip et de mes chaussettes qui emplissaient ma bouche fit que les courts intervalles de sommeil que je pus obtenir furent peuplés de rêves de géants avec des pieds immenses que je devais lécher entre les orteils.
Je fus réveillé brutalement par John qui retira d'un coup sec son pouce de mon trou. J'aurais poussé un cri si je n'en n'avais pas été empêché par mon bâillon puant. Il donna une grande claque mes fesses avant de sortir du lit. Ceci réveilla toute la douleur de la nuit d'avant.
"Prêt pour un nouveau jour ensoleillé? " Demanda-t-il. "Bouge ton cul est mais toi à quatre pattes."
Je me levai avec précaution, du lit. La douleur irradiait tout mon corps. Mon derrière était en feu comme s'il avait été attaqué par un essaim d'abeilles et mes couilles palpitaient. Tandis que le souvenir des tortures de la nuit d'avant me revenait en mémoire, je me rappelais alors combien je m'étais concentré pour conserver mon sexe en direction tout le temps. Je lui jetai un coup d'oeil furtif et je réalisais alors que j'étais déjà en érection. Pendant une seconde cela ne rendit fier et que cela plairait à mon maître mais j'écartai rapidement cette pensée de ma tête.
Une fois que je me mis en position il s'approcha et enfonça brusquement le goulot d'une bouteille d'eau en plastique dans mon cul. Une rapide et forte pression et mes intestins furent inondés d'une eau chaude et savonneuse. Mon trou élargi eu quelques difficultés à contenir en lui l'eau chaude mais je fis de mon mieux.
"Tous les matins je veux que tu te nettoies toi-même avec ceci. Et à partir de maintenant tu devras être debout avant moi pour le faire. Je ne veux pas voir cela."
Je pris la bouteille de ses mains et je tentais de refaire son geste pour me nettoyer. Cela faisait vraiment du bien après tout ce que j'avais enduré la nuit d'avant. En fait j'en vins rapidement à apprécier ce rituel. Je recommençais encore et encore jusqu'à ce que l'eau évacuée soit claire.
Voyant que j'avais terminé, John ne tendit une serviette et me demanda de la mettre. J'enroulais rapidement la serviette autour de ma taille tandis que John s'approchait habillé d'un pantalon et une chemise déboutonnée. Il emportait avec lui ses chaussettes sales, et un change complet de linge propre pour lui et moi. Apparemment la prison fournissait à chaque prisonnier deux ensembles complets de vêtements : un ensemble pouvait être porté pendant que l'autre était à la laverie. Il me donna le tout. Ensuite il enleva le slip de ma bouche; j'avais oublié qu'il y était toujours.
"C'est l'heure de la douche. J'espère que tu es près pour nous faire un petit show."
Je ne savais pas qu'il voulait dire mais cela n'était pas de bonne augure.
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